W.A.S.P. – W.A.S.P. Cet été, j’ai décidé de sortir un peu de ma zone de confort et d’aller explorer d’autre bands, comme Poison et Cinderella. Évidemment, ce sont des groupes que je connais déjà de nom, mais je n’avais jamais réellement pris la peine d’écouter leurs albums.
Ce mois-ci, W.A.S.P a tourné en boucle dans ma voiture, mes écouteurs, mon salon, partout! Band originaire de Los Angeles en Californie, ceux-ci ont sorti leur album W.A.S.P en 1984. J’ai découvert cet album lors de mon périple aux États-Unis! Quoi de mieux qu’un album de Heavy/Hard rock pour se promener dans une canicule.
Bonne écoute!
Parkway Drive – Ire. Eh oui, je vais peut-être vous étonner, mais je n’écoute pas que du Black ou du Folk dans la vie et il m’arrive régulièrement d’aller m’aventurer dans d’autres sphères métalliques que celles que je côtoie quotidiennement!
Sorti il y a 7 ans déjà, en 2015, Ire avait divisé les fans du combo australien à sa parution, entre ceux qui n’y retrouvaient plus l’esprit plus brut des débuts et ceux qui, au contraire, appréciaient l’évolution toujours plus mélodique de leur son. Eh bien, vous avez ici ce qui me semble être le parfait compromis musical entre les deux mondes!
Pour ma part, vous commencez à savoir que je suis en général très bon public et il ne m’a pas fallu longtemps pour tomber sous le charme de cette galette!
Parkway Drive, c’est exactement le genre de band que j’écoute quand j’ai besoin d’un boost au moral, de me dynamiser un coup ou tout simplement quand les beaux jours arrivent ; un concentré pur d’énergie, de bonnes ondes et de bangers à se décrocher les cervicales (et je ne parlerai pas ici de leurs prestations live, qui font surement partie des meilleurs concerts qu’il ne m’ait jamais été donnés de voir)!
Ce n’est pas Ire qui prétendra le contraire! Nous avons ici affaire à tout ce qui rend le groupe unique et entraînant : des riffs acérés (Bottom Feeder), des mélodies épiques et terriblement addictives (Destroyer, Vice Grip), des breakdowns puissants au possible (Crushed, Dedicated)… et même quelques violons sur Writings On the Wall!
Vous l’aurez compris : c’est la variété qui prime et notamment dans le chant de Winston McCall, plus en forme que jamais et qui nous propose une palette vocale impressionnante, passant tour à tour par des hurlements rageurs, un growl caverneux et profond, des chuchotements, certaines parties quasi parlées/rapées… et c’est une première, un chant clair extrêmement convainquant!
Bref, c’est l’été, il fait chaud et vous souhaitez des summer vibes tout en restant metal street crédible? Foncez sur cet album, vous ne pouvez pas vous tromper !
Ruine – Révolte et crâneriez paysanne. Ce mois-ci, c’est l’album Révolte et crânerie paysanne de la formation Ruine qui aura le plus spiné dans mes oreilles de modeste roturier. Et je dois avouer que j’ai apprécié à la première écoute, notamment parce qu’on y retrouve tous les éléments que j’apprécie d’un ouvrage musical complet. Les compositions sont inspirées, bien structurées et les pièces s’enchaînent dans une logique musicale des plus agréables. Les parties rythmiques et mélodiques s’alternent naturellement et l’album compte plusieurs moments qui deviennent de véritables vers d’oreilles au fil des écoutes. Enfin, le groupe réussit à nous immerger dans son univers avec une sonorité d’ensemble que je qualifierais de semi-propre. Nous ne sommes pas ici en présence d’un mix ultra grim mais le spirit Black métal y est assez présent pour ne pas nécessairement tomber dans la surproduction. On entend aussi une influence punkish qui ne m’a pas déplu dans certains passages et cet élément se manifeste également dans des titres comme Les puissances d’argent mais aussi dans les textes, notamment de nombreux segments chantés plutôt que hurlés avec une voix gutturale. Enfin, je suis de ceux qui croient qu’il est important d’accorder une importance particulière à l’imagerie afin qu’elle reflète bien la musique du groupe et c’est ici aussi un objectif atteint pour Ruine.
Amon Amarth – The Great Heathen Army. J’ai reçu l’album, il y a trois semaines environ, en guise de préparation avec mon entrevue avec Olavi Mikkonen. Depuis, il ne quitte plus mes oreilles pour mes joggings et autres marches plus pépères quand le soleil me grille trop le haut de la casquette. Des trois derniers albums, je crois que celui-ci est leur plus solide. Le pacing de l’album est parfait, le groupe y va avec un truc plus original, suivi d’une brute musicale. Je dois avouer qu’après Berserker, je m’étais dit que le groupe n’avait plus de jus dans la tank, mais avec cet album, l’espoir renaît amplement. La chanson à boire Heidrun est solidement amusante, Find a Way or Make Another est près des racines et le refrain est combatif tandis que Saxons and Vikings (avec des membres de Saxon) demeure épique! Mon enthousiasme pour le concert de Laval prend encore plus d’ampleur!
Alestorm – Seventh Rum Of A Seventh Rum. Alestorm est un groupe que je suis depuis ses tout débuts. Dans leur discographie, il y a du meilleur et du moins bon, mais avec chacun des albums, on sait qu’on aura toujours droit à un bon moment. Leur musique étant effectivement très festive, elle va plutôt bien avec la saison estivale, l’abondance de bière et les petits feux de camp de fin de soirée.
Avec Seventh Rum Of A Seventh Rum, la formation ne se réinvente pas nécessairement, mais nous propose du Alestorm efficace avec des hymnes de piraterie qui restent en tête, un humour de mauvais goût ainsi que des riffs et solos bien construits. Je ne suis pas nécessairement fan de versions acoustiques habituellement, mais celle de SROASR vaut une écoute également je crois, proposant une ambiance qui rappelle encore plus les chants de marins.
Pour une critique plus détaillée, je vous invite à lire cette chronique sur ArsMediaQc (avec laquelle je suis en grande partie d’accord). Je vous laisse avec la pièce Magyarország, un hymne humoristique à la Hongrie et au guitariste du groupe, qui est d’ailleurs Hongrois.
Harakiri for the Sky – Arson. Toutes les belles annonces des dernières semaines portant sur la Messe des Morts 2022 m’ont inspirée pour mon jukebox du mois. Mon choix pour ce mois-ci est, selon moi, le meilleur album de Harakiri for the Sky, Arson, qui est sorti en 2018. C’est cet album qui m’a fait tomber en amour avec ce band. Arson est le mix parfait entre le mélodique et le Depressive and suicidal black métal (DSBM). Pour découvrir Harakiri for the Sky, je vous recommande très fortement cet album!
Ministry – Psalm 69 The Way To Succeed and The Way To Suck Eggs. En ce splendide mois de juillet, juste avant mes vacances tant attendues, j’ai célébré les 30 ans d’un de mes albums fétiches en le jouant en boucle comme un obsédé, sans retenue. Eh non, je ne parle pas ici de Countdown To Extinction de Megadeth, même s’il fête lui aussi ses 30 ans! Ministry reste meilleur selon moi, peu importe l’odieux du sacrilège que je viens d’émettre. J’avais besoin que la douce voix de Gibby Haynes me fredonne des « Ding a-ding dang » avec Jourgensen qui se lamente sur Scarecrow, se donnant des allures d’antéchrist avec Psalm 69 ou nous martèle avec des riffs puissants de Mike Scaccia sur N.W.O., Just One Fix ou Hero. De quoi plaire à toute la famille! Même mon plus petit y trouve son compte pour la sieste avec Grace. Ça s’écoute fort et souvent! Le pape venant faire son petit tour, pourquoi pas lui faire écouter des psaumes! Il s’agence en plus tellement bien avec son prédécesseur The Mind Is A Terrible Thing To Taste, ça fait un combo facile!
Le choix de Ka Dickinson
Iron Maiden – Caught Somewhere in Time. Mon album de ce mois-ci et mon album préféré de tous les temps. Pourquoi en plein mois de juillet est-ce que je décide de vous apporter ce bijou des années 80’? Parce que c’est l’album parfait pour faire de la route dans les petits villages perdus dans le fond de mon Abitibi. Eh oui, avec Stranger in a Strange Land, on peut s’y reconnaître. Avec Loneliness of a Long Distance Runner, on l’envie d’aller encore plus loin et avec Déjà-Vu on se demande si nous n’aurions pas déjà passé par là. L’album est peut-être court, mais c’est un album qui s’écoute de A jusqu’à Z sans passer de chanson. Je vous laisse dans ma nostalgie avec ma chanson préférée, Alexander the Great!
Gherzen – 1881. Quand je passe beaucoup de temps seul dans les aéroports, j’ai besoin de musique qui me procure un sentiment de bien-être. C’est le cas avec ce projet des membres d’Elderwind. Un Black métal atmosphérique de haute qualité. La couverture montre le Tzar Alexandre II, assassiné en 1881.
J’ai écouté cet album en boucle depuis la dernière semaine. Je le conseille fortement à ceux et celles qui aiment les compositions planantes et le Black avec une quantité minimale de cleans.
Cradle of Filth – V Empire or Dark Faerytales in Phallustein. Je reviens dans le vieux stock, cet EP de Cradle of Filth sorti en 1996 entre The Principle of Evil Made Flesh et Dusk… And Her Embrace. Les lignes de bass bien en avant, le vocal strident de Dani Filth à l’époque où il gérait bien, les élans vampiriques, les moments instrumentaux inquiétants, la vélocité et l’agilité des musiciens… J’avais oublié cette pépite, car à l’époque, je n’avais pas pu me le procurer puisque j’étais alors trop jeune. Mon disquaire, quant à lui, avait pas mal de difficulté à me commander les anciens albums de cette formation. Cependant, quelle ne fut pas ma surprise de l’apercevoir au kiosque de mon collègue Ars Métallique, Michel Perron, au Metal Market à Québec l’été dernier. Je n’ai pas hésité à lui acheter sa copie et à l’écouter à plusieurs reprises depuis, sauf que ce mos-ci, au gros soleil, volume dans le fond pendant que je lavais ma voiture avec une bonne bière fraîche, c’était encore mieux il me semble. Je vous invite à vous en saisir.
Tristania – World of Glass. Tristania a connu ses plus belles années fin 90 avec des albums qui demeurent des classiques pour plusieurs. World of Glass est le 3eme album du groupe et le premier suivant le départ du guitariste et chanteur Morten Veland en raison de divergence musicale et sociale. Celui-ci fondera Sirenia et Mortemia par la suite, groupes encore actifs aujourd’hui. Malgré cette lourde perte, les impacts furent mineurs puisque les norvégiens surent produire un album d’une très grande qualité, comparable à Beyond The Veil, son légendaire prédécesseur. World of Glass est un album sans longueur, riche en émotion et d’une très grande finesse. La beauté mélancolique des pièces ne s’est pas estompée avec le passage des grains de sable dans le sablier du temps. Un peu comme les être humains, la musique ne vieillit pas toujours très bien, heureusement pour Tristania ce n’est pas le cas.
La formation norvégienne offre encore une fois un album dans la mouvance Gothic métal avec un bon mélange de voix black, de chœurs et un voix féminine typiquement envoûtante. Vibeke Stene demeure l’une des voix marquante de cette époque glorieuse de la scène gothique et sa présence a joué sur les succès du groupe. Un autre élément majeur qu’il est impossible d’omettre le brio du violoniste Pete Johansen. Ce dernier apporte une profondeur supplémentaire à certaines pièces sans pour autant les dénaturer.
Forcé de l’avouer, après 21 ans, le charme de cet album produit encore le même effet.
En espérant qu’il pourra vous conquérir!
The Gates – As Above, So Below. Ceux qui me font l’honneur de lire mes parutions ou d’écouter mes chroniques dans Le Souterrain sauront que mes goûts musicaux sont souvent un peu dans l’champ gauche. Il y a quelques semaines, la fierté locale rayonnant un peu partout qui se qualifie de Magik Métal a sorti un EP qui sortira sous forme de split avec Behrosth via le prestigieux label Goatowarex. Pour cette deuxième sortie, The Gates revient avec sa musique occulte / psychédélique toujours aussi délicieuse qui se démarque, entre autres, par la performance vocale qu’on peut qualifier de Black métal.
Il est difficile de bien décrire tout l’univers qui est créé par les deux protagonistes, mais une seule écoute saura vous faire comprendre ce qui a de si attrayant dans ce projet. Outre le vocal qui est très vivant et versatile, les claviers viennent ajouter la touche douteuse alors que les instruments de base solidifient le côté rock de la chose. Je n’en dis pas plus et je vous laisse tomber dans la spirale enivrante qu’est The Gates.
https://thegates-northernsilence.bandcamp.com/album/as-above-so-below
AC/DC – The Razor’s Edge. La période estivale amène une vague de nostalgie. Mon père avait l’habitude d’amener la famille en bateau. De la Marina de Pointe-Aux-Trembles jusqu’au Vieux Port de Montréal, nous écoutions les grands succès de son époque. Pink Floyd, Ozzy Osbourne et Iron Maiden accompagnaient les vagues, mais un groupe se démarquait.
AC/DC est mon premier amour musical. Toutes les raisons sont bonnes pour mépriser ce groupe qui n’arrive pas à se démarquer au fil des années, mais leur recette de Blues et de Hard rock vient bercer en moi mes souvenirs enfantins.
Je vous parle de l’album The Razor’s Edge pour deux raisons. Non seulement c’est l’album favori de mon paternel avec les titres Thunderstruck, Moneytalks et Are You Ready?, mais aussi parce que c’est pour moi le deuxième meilleur du groupe dans l’ère de Brian Johnson. Revisitez ce classique, ça vaut le coup.
Soilwork – Natural Born Chaos. Avec ma chronique sur leur dernier album qui s’en vient, j’ai décidé de replonger dans l’album de Soilwork que j’avais beaucoup écouté à l’adolescence, Natural Born Chaos. Ce qui me frappe après toutes ces années, c’est à quel point l’album sonne moderne encore aujourd’hui. À ce 4e album, le groupe avait déjà évolué d’un Death mélodique traditionnel vers cet hybride popisant et même progressif, avec ces refrains qui restent bien en tête, mais aussi des structures de chansons exploratrices.
L’album ouvre en force avec Follow The Hollow, une vraie tuerie. La chasing title est probablement le meilleur titre regroupant tous les éléments de ce qui fait de cet album le summum de la discographie des suédois. Black Star Deceiver brille par son côté mélodique et prog avec un refrain qui va vous rester en tête pendant des jours et Soilworker’s Song Of The Damned clôt de parfaite façon l’album.
Bref, un album quasi parfait si ce n’était d’un Mercury Shadow qui ne mène nulle part.
4.5/5
Helloween – Walls of Jericho. C’est ce que j’appelle une réussite signée Speed métal. Cet album est un des meilleurs albums dans son genre, avec aucun remplissage. Il s’agit aussi du seul album où Kai Hansen chante et les chansons sont plutôt rapides et très agressives, chose que nous entendons de moins en moins dans le reste de la discographie du groupe. Allez y jeter un coup d’oeil.
Rage Against The Machine – Rage Against The Machine. La venue tant attendue sur les Plaines de RATM allait enfin avoir lieu le 16 juillet dernier! Cette formation pionnière du Rap rock, Rap métal, Funk métal, Nu métal, appelez-ça-comme-vous-voulez-métal qui m’avait tant marquée lorsque je voyais le clip de Killing in the Name à 9 ans à MusiquePlus en 1992 (jeunesse sans repères!!!) est donc rapidement revenue en tête de ma playlist quotidienne au cours du mois de juillet. Bien sûr, de leurs trois vrais opus studios, c’est le premier qui retint le plus mon attention puisque c’est un vrai petit bijou dont il est parfois difficile de saisir l’impact si on n’a pas connu l’époque de laquelle il est issu. Messages politiques extrêmement incisifs et controversés, musique révolutionnaire dans tous les sens du terme, Tom Morello qui invente un nouveau style de jeu de guitare dont il est toujours le seul vrai représentant, section rythmique époustouflante de justesse, les raisons sont nombreuses pour encenser cet album qui fut un immense succès dès sa sortie. Allez-y, gâtez-vous!
Thantifaxath – Sacred White Noise. Comme plusieurs d’entre vous, j’ai pu acheter mes billets pour notre rituel Black métal annuel : la Messe des Morts! Et comme à l’habitude, j’aime réécouter la discographie des groupes à l’honneur. Récemment, j’ai porté mon attention sur l’excellente formation ontarienne Thantifaxath, qui œuvre dans le Black métal dépressif d’avant-garde. J’ai quasiment honte de l’avouer, mais je ne connaissais ce groupe que de nom, n’ayant jamais eu le temps de m’y attarder. Et je dois dire que ce groupe est tout simplement excellent. Dès les premières secondes de leur album Sacred White Noise (lancé en 2017), je suis happée dans leur univers musical expérimental, plein d’accords dissonants, conférant une impression d’étrangeté glaçante à la musique. Une très belle découverte, qui accompagne bien une soirée d’été solitaire en forêt au bord du feu.
Gojira – Magma. J’ai eu droit a beaucoup de balles courbes lancées par la vie en ce mois de juillet, le besoin de me vider la tête était plus que nécessaire. Retourner vers Gojira est toujours dans mes premiers choix lorsque ce besoin se fait ressentir. Magma demeure un de mes albums top 10 à vie, choix personnel. J’accroche beaucoup à la lourdeur de la musique du groupe que j’ai découvert au HeavyMTL il y a quelques années. Par contre, petite note, toujours pas convaincu du dernier album Fortitude : je l’écoute, mais pas encore certain de bien l’apprécier… À suivre… Aussi, j’aime toujours voir le regard de mes voisins quand j’arrive en voiture les fenêtres ouvertes avec du Gojira dans le tapis hahahahaha, priceless.
Le choix de Charles-Alexandre Tourchot
The Ghost Inside – Rise From the Ashes : Live at the Shrine. À noter, le groupe a été victime d’un accident de la route lors de sa tournée de 2015. Heureusement, la plupart des membres du groupe s’en sont sortis indemnes. Le batteur, quant à lui, a perdu une jambe. Le concert au Shrine a été sold out en quatre minutes! Premier album live du groupe sorti en 2021 et enregistré lors de leur concert de retour en 2019. On peut y sentir toute l’énergie des gars! Le batteur Andrew Tkaczyk m’impressionne énormément, déjà qu’en studio, il est sur la coche. Sur ce concert, il est plus que tight! Je recommande fortement ce groupe aux amateurs de Metalcore. Le groupe sera d’ailleurs de passage le 31 juillet à l’Agora du Vieux-Port en première partie d’A Day to Remember.
Le choix de Joé Calvé
Ghøstkid – Ghøstkid. Ce mois-ci, j’ai fait la découverte de Ghøstkid et de son premier album par le biais de sa collaboration avec Kayzo nommée The Sickness. Originaire d’Allemagne, il lance ce premier album en 2020 en disant s’inspirer d’artistes comme Fever333 et Bring Me The Horizon.
L’album compte quelques collaborations dont une même pièce, THIS IS NØT HØLLYWØØD, se voit avoir deux versions différentes : une avec Timi Hendrix et une autre avec Johnny 3 Tears, l’un des chanteurs d’Hollywood Undead. Nous avons aussi une apparition de Heaven Shall Burn sur SUPERNØVA.
Sa voix puissante pousse ses screams à différents niveaux, mais sans impacter cette rage qui se fait ressentir tout au long de l’album et surtout dans des morceaux comme FØØL, SUPERNØVA et ZERØ qui ne sont définitivement pas à manquer.